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Les librairies
Encore une fois une variation sur un de ses sujets préférés de Thomas Bernhard : le littérateur philosophique. Ici nous sommes dans un bled du fin fond de l'Autriche et le directeur d'une troupe ambulante attend le début d'une représentation de sa pièce : La Roue de l'Histoire. Méchant, notamment à l'égard des Autrichiens et du théâtre - une perversité millénaire - le faiseur de théâtre est une véritable machine à injures. Mais à la fin, lorsque le public préfère quitter la salle pour assister à l'incendie du presbytère, et…
L'ensemble de ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu'entretenais l'auteur viennois avec la profession de comédien et l'art dramatique, un art en mascarade et aliénation dans l'héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l'acteur cristallise la haine féroce que Berhnard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et de faux-semblants, métaphore de la société de l'époque et de la nation autrichienne tout entière.
La langue berhnardienne s'y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisiannt la solitude et la folie.…
L'ensemble de ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu'entretenais l'auteur viennois avec la profession de comédien et l'art dramatique, un art en mascarade et aliénation dans l'héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l'acteur cristallise la haine féroce que Berhnard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et de faux-semblants, métaphore de la société de l'époque et de la nation autrichienne tout entière.
La langue berhnardienne s'y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisiannt la solitude et la folie.…
L'ensemble de ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu'entretenais l'auteur viennois avec la profession de comédien et l'art dramatique, un art en mascarade et aliénation dans l'héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l'acteur cristallise la haine féroce que Berhnard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et de faux-semblants, métaphore de la société de l'époque et de la nation autrichienne tout entière.
La langue berhnardienne s'y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisiannt la solitude et la folie.…
L'ensemble de ces textes illustrent la relation acerbe et ambivalente qu'entretenais l'auteur viennois avec la profession de comédien et l'art dramatique, un art en mascarade et aliénation dans l'héritage de Shakespeare. Miroir de lui-même et figure repoussoir, l'acteur cristallise la haine féroce que Berhnard vouait au monde du spectacle, lieu de culte du pouvoir et de faux-semblants, métaphore de la société de l'époque et de la nation autrichienne tout entière.
La langue berhnardienne s'y fait répétitive, obsessionnelle, monstrueuse, portée par des figures avoisiannt la solitude et la folie.…