Malgré l'image d'ermite qu'il s'est forgée ou qu'on lui a faite, Thomas Bernhard a participé activement à la vie sociale de l'Autriche et de l'Allemagne. A partir des années 80, il a adressé à des journaux des textes provocateurs, des dramuscules traitant de la xénophobie, du racisme et de la haine de l'autre dans la société d'aujourd'hui.
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