D'un coté Robert Leguen, de l'autre Pierrette Chaput qu'on ne verra jamais. C'est le jour de leur mariage, tous deux vont sur leur 60 ans. Yvette Leguen a tenu a ce que le banquet ait lieu dans la salle de réfectoire de l'école primaire ou travaille son mari. Toute l'action de On choisit pas sa famille se déroule dans le couloir qui mène a ce réfectoire. Deux sœurs jumelles, un serveur chaotique, un cuisinier apathique, un cousin alsacien, une jeune fille irresponsable, un frère qu'on attendait pas et bien d'autres…

4 personnages sont bloqués dans une cabine d'ascenseur. Or le gardien ne doit prendre son service qu'a la fin du mois dans cet immeuble neuf soigneusement insonorisé. La ventilation est en panne. Ce pourrait être le point de départ d'un drame angoissant, Jean Christophe Barc a préféré écrire un irrésistible huis clos. Son humour vachard injecte une vigueur insolente a des dialogues percutants. Attention, danger d'étouffements, de rire.

Gilbert exerce la médecine illégalement, sans scrupule, avec de faux diplômes. Des policiers débarquent dans son cabinet sans se douter qu'ils ont affaire à  un imposteur. Ils s'installent chez lui pour faire une planque... Tout en surveillant la maison d'en face, ils sont confrontés malgré eux au quotidien du faux docteur Dehors qui prétend soigner ses malades par la régression, c'est-à -dire en fouillant dans leurs vies antérieures. Rusé comme un renard, doté d'un culot abyssal et d'une imagination à  toute épreuve, notre escroc va tenter de se sortir des situations…

Monsieur le maire a de quoi s'inquiéter : son petit village du Jura se meurt doucement déserter par une population de plus en plur rare. Il faudrait trouver d'urgence un jeune couple pour rouvrir l'épicerie et reprendre le café-tabac. Avec l'arrivée inopinée de Rosa, une ex-taularde, la maladresse musicale de Victor, les talents culinaires de Janine et surtout le dynamisme de l'abbé Caporal, le curé du village, les résultats dépasseront ses espérances. Mais à  quel prix ? "Bien mal acquis ne profite jamais", affirme le proverbe. Pas si sûr... Une…

Dans le room-service d'un grand hôtel parisien, Gilbert le serveur, exerce avec un plaisir sadique, son pouvoir d'ancienneté sur Daniel, son malheureux mais rusé collègue. Lorsque déboule dans leur bureau l'une des gardes du corps d'une princesse étrangère, leur joyeuse tranquillité cesse de ronronner... Avec ses avalanches de jeux de mots et quiproquos, son rythme infernal, ses personnages déjantés, ses répétitions inattendues, ses situations démentielles, "Le Grumeau" s'inscrit dans l'esprit corrosif et vachard du grand café-théâtre. Celui qui sait voleter au-dessus des facilités complaisantes de la vulgarité.

Dans le sous-sol d’un hypermarché, un manutentionnaire classe, à sa façon, les nombreux cartons de marchandises qu’il faudra mettre en rayons. Une ancienne vedette de la télévision fait irruption dans son débarras : il doit se préparer pour assurer une animation « Semaine italienne ». Son arrogance, sa suffisance n’altèrent en rien l’esprit tatillon de son interlocuteur, son obsédant désir de subordination à ses chefs. Ces deux hommes si éloignés l’un de l’autre trouveront pourtant un terrain d’entente assez inattendu.

Instituteur maniaque, Norbert a préparé au kilomètre près, une randonnée cycliste dans une campagne du fin fond de la France. Venue de Paris, Carole, une amie qu'il n'a pas revue depuis huit ans, apprécie moyennement la perspective de cette virée champêtre. La présence des pittoresques amis de Norbert ne dissipe guère sa mauvaise humeur lorsque surgit Martine, une jeune fille, apprentie majorette, prête à tout pour électriser une ambiance déjà survoltée. Un cocu, un enfant imprévu, un ténor qui chante faux, un étang aux suicidés composent quelques uns des multiples…

Après le fulgurant succès de ON NE CHOISIT PAS SA FAMILLE qui nous entrainait dans les coulisses d'une noce peu , ou trop, ordinaire, JEAN CHRISTOPHE BARC nous conduit au bord d'une nationale, dans le petit cercle fermé des routiers, avec leurs codes, leur langage imagé, les petites manies. Cette nuit de pleine lune, Tonton l'Asphalte regrettera t'il d'avoir répondu a l'appel de Sylvie la romaine. Le voila embarqué, bien malgré lui, dans une aventure échevelée ou se croisent un amnésique, une serveuse fleur bleue, un représentant mythomane, une animatrice…

Tout le monde s'affaire sur un plateau de télévision pour le tournage en direct du centième épisode de la sitcom LE SAUVAGE. La vedette du feuilleton Victor cabotine allégrement, sûr de son prestige et de son talent.. L'équipe s'inquiète du retard de Gloria Martini, star du cinéma, invitée exceptionnelle de cette centième. Micheline fait répéter le texte aux comédiens. La tension monte au fur et à  mesure que l'heure de la diffusion approche. Contre toute attente, fiction et réalité vont se mélanger dans cet épisode qui sera beaucoup plus explosif…

En Bretagne, Guy, propriétaire du familial camping de Pen-Ar-Coët, attend avec anxiété l'arrivée d'un inspecteur pour gagner l'étoile supplémentaire qui permettra à  son établissement d'accéder à  une catégorie plus luxueuse. Mais sa femme Odile a des projets plus ambitieux... La journée démarre dans une apparente bonne humeur qui va très rapidement se dégrader. Une galerie de Campeurs pittoresques et plus vrais que nature, traverse cette comédie échevelée, presqu'hystérique ou un faux archéologue nourrit de juteuses transactions pour condamner définitivement ce sympathique camping. Ecrit dans le même esprit que "On choisit…

Maxime supporte mal d’être obligé d’assurer des travaux de plomberie au lieu d’exercer son vrai métier : décorateur intérieur. Sa femme, Betty, réalise des reportages photographiques de mariages foireux, et des photos publicitaires accablantes d’inintérêt ! Elle souhaiterait réaliser le roman-photo qu’elle a déjà écrit. Avec la complicité d’un mannequin, Grégoire, la mauvaise volonté de Maxime et la candeur naïve d’Agathe, elle va pouvoir réaliser son rêve. Mais au prix de péripéties incroyables !

Voilà la sixième fois que l'inspecteur de policre Louis Vauthier interroge Mathilde. Cette jeune femme de 20 ans a été une fois de plus arrêtée lors d'une manifestation, pour violences et actes de malveillance sur la voie publique.

Une sympathie inattendue naît entre ces deux êtres si dissemblabes, fracturée s'un et l'autre par une vie pas vraiment rose. Au cours de l'interrogatgoir sont abordés les sujets de société les plus préoccupants avec un humour dévastateur qui suscite la réflexion même dans un grand éclat de rire.

Il fallait trouver le masculin de « cougar », les auteurs ont trouvé : « Puma » car c'est bien d'un quinquagénaire en couple avec une jeunette de 23 ans dont il s'agit ! Dans cette comédie délirante, s'"encherêtrent tous les ingrdients d'une pièce ui ne laisse de répit ni aux comédiens, malmenés à un rythme infernal par leurs auteurs, ni aux zygomantiques des spectateurs tant les situations sont déconcertantes de drôlerie ; quiproquos, mensonges énormes, entrée intempestives de tel personnage qu'on attendait surtout pas !

Ce…

Parce que c'est la Journée de la Femme, les maris ont promis, lors d'une soirée un peu trop arrosée, de leur préparer eux-mêmes un dîner. C'est ainsi qu'en cuisine se retrouvent Bernard, maire de la commune, Jean-Paul, cuisinier, et Michel, petit commerçant. Ils parlent de leur femme, chacun à sa manière, lorsque surgit François, un agriculteur marié à une Malienne. Ce dernier, qui aurait pu être le « ravi » du groupe, dégaine au fil des conversations, des révélations très embarrassantes.

Les informations crapuleuses s'enchaînent à une…

Deux balcons sur la façade d'un immeuble de style hausmanien.

Dans le prologue, nous sommes en 1899, et deux hommes devisent sur leurs inquiétudes et leurs espoirs face au XX^e siècle qui promet une entrée dans l'ère industrielle faconde d'où toute guerre serait exclue. Ces élégants quadragénaires tiennent des discours à faire pâlir la CGT entrée dans sa quatrième année : on ricane lorsque les domestiques souhaiteraient des congés, on trousse les petites bonnes, puisque c'est toujours moins dangereux qu'une maîtresse...

Nous retrouvons cette même…