Après sept ans d'absence, Zackariya de Sarles profite des funérailles de sa grand-mère pour revenir dans la maison de son enfance. Le jeune homme - membre d'une ligue religieuse meurtrière - fait son retour pour rétablir la justice au nom des innombrables victimes silencieuses du laboratoire pharmaceutique dont Adrien - son oncle, puis père adoptif - est l'actionnaire majoritaire.

Un homme revient dans une ville de bord de mer, et sur le seuil d'une maison, parle à une femme qu'il a connue. Il voudrait expliquer ses erreur, les réparer, mais il est difficile de s'amender. Ce qui bouillonnait sous la surface du bonheur, c'était l'enfance douloureuse, la violence et la désamour du père, la peur de reproduire les mauvais gestes.

Le temps d'une nuit de crise, où les langues se délient, chacun se positionne exprime ce que créer de la musique - ou faire partie d'une groupe - peut avoir de vital.

Un voyageur erre dans le villes, à la recherche du grand amour. Mais il ne cesse de lui échapper.

En dialogue avec les contes, Barbie sur le récif explore les fantasmes inculqués dès l'enfance par le cinéma, la publicité, ou les jouets de Mattel.

Arthur revient dans la ville de son enfance pour enquêter sur d'étranges disparitions survenues vingt ans plus tôt. Selon lui, ces disparitions seraient liées à l'explosion d'une centrale implantée dans la forêt voisine. Arthur retrouve une population mutique, affaiblie, ainsi qu'une jeunesse désœuvré qui dérive, sans mémoire ni projets d'avenir. Une jeunesse enveloppée par la brume.

La théorie d'Arthur n'est-elle qu'une affabulation ? comment savoir, alors, quelle était la véritable histoire ? Et si on ne connaît pas notre passé, comme comprendre notre présent ?