Un dialogue qui, moins que deux philosophies, oppose deux génies aux antipodes l'un de l'autre, aussi bien par leur style de vie que par leur caractère.

Dans une banlieue de béton ou les lilas et les parfums ne sont plus que des souvenirs, une vieille maison attend sa fin. Mais elle n'est pas vide: une Mère et son fils retirés dans leurs rêves, y vivent un étrange huis clos. Un soir, survient un visiteur animé par une curiosité insolite: est ce bien dans cette maison qu'il a aimé, il y a très longtemps, une petite fille nommée Alice?

Dans la nuit du 6 au 7 juillet 1815, a l'heure ou la conjoncture politique les contraint a la négociation, la rencontre entre Talleyrand et Fouché. Alliance provisoire ou ultime combat.

Louis XIV est mort, le pouvoir n'est plus a Versailles mais a Paris dans des salons tenus par les femmes parmi les plus intelligentes. Mme du Deffand et sa nièce Julie de Lespinasse vont bientôt s'opposer et se disputer leurs amis.

A partir du moment ou il a rencontré la femme de ses rêves, Henry, un écrivain, ne fait plus confiance aux mots. Pour retenir l'inexprimable beauté de Daphné, il la photographie a tout instant, jusqu'à la folie.

Arrivant a Paris, Antoine aurait il poussé par hasard la bonne porte, et est ce que le bonheur l'attend dans cette maison inconnue, près de Romorantin où le temps semble être pris au pièce ? Sans qu'il y soit jamais entré, elle lui paraît en tout cas étrangement familière, et dès qu'il en a franchi le seuil, il en subit l'enchantement. Heureux, Antoine qui ne se savait pas attendu... Mais pour entrer dans le jeu d'Anaïs, la belle et cynique et ensorcelante maîtresse de ces lieux, il va lui falloir…

Un affrontement subtil, dramatique. Un miracle de psychologie, de finesse, de construction. Un texte, un dialogue d'une sobriété rare...Et, cette fois, comme dans un mécanisme bien agencé, rien...ne joue. La technique, ici, n'est pas tout. L'humanité est profonde, la sensibilité exceptionnelle. Sans compter l'humour, l'ironie, la connaissance d'une profession, d'un milieu, le tableau des mœurs, la satire d'une époque, d'une civilisation. Tout est franc, simple, clair, bien dessiné, juste...la note juste si chère a Giraudoux.

Dans une banlieue de béton ou les lilas et les parfums ne sont plus que des souvenirs, une vieille maison attend sa fin. Mais elle n'est pas vide: une Mère et son fils retirés dans leurs rêves, y vivent un étrange huis clos. Un soir, survient un visiteur animé par une curiosité insolite: est ce bien dans cette maison qu'il a aimé, il y a très longtemps, une petite fille nommée Alice?

Après la défaite de Waterloo et l'exil de Napoléon, Wellington et les troupes anglaises sont dans Paris. La révolte gronde. Qui va gouverner le pays ? Le 6 juillet 1815 au soit, les "faiseurs de rois" Fouché et Talleyrand se retrouvent ors d'un souper pour décider du régime à donner à la France. Si le premier souhaite une république, le second envisage le retour des Bourbons. Aucun des deux ne peut agir sans l'autre. Commence alors une négociation entre deux hommes puissant qui se détestent mais que les circonstances historiques…

Un affrontement subtil, dramatique. Un miracle de psychologie, de finesse, de construction. Un texte, un dialogue d'une sobriété rare...Et, cette fois, comme dans un mécanisme bien agencé, rien...ne joue. La technique, ici, n'est pas tout. L'humanité est profonde, la sensibilité exceptionnelle. Sans compter l'humour, l'ironie, la connaissance d'une profession, d'un milieu, le tableau des mœurs, la satire d'une époque, d'une civilisation. Tout est franc, simple, clair, bien dessiné, juste...la note juste si chère a Giraudoux.

Cinq ans durant, Napoléon et son geôlier anglais, Hudson Lowe, formèrent malgré eux un de ces couples que l'Histoire met parfois en scène.

Deux valests de Talleyrand s'occupe du souper qui va avoir lieu ce soir, nuit du 6 au 7 juillet 1815. Souper entre Talleyrand et Fouché (président du gouvernement provisoire) à la veille de l'insurrection des Jacobins, alors que la conjoncture politique les contraint à la négociation, mais que tout les sépare.Affrontement des deux hommes. Fouché accepte le retour de Louis XVIII.

Le 24 septembre 1647, Pascal Lejeune et Descartes se sont effectivement rencontrés dans un couvent de l'ordre des Minimes. Jean-Claude Brisville imagine l'entretien entre les deux philosophes : Dieu la Foi et la science. Deux génies aux antipodes l'un de l'autre, aussi bien par leur style de vie, leurs convictions que leur caractère. Descartes, homme sage et tolérant, respectueux des valeurs de l'autre, Pascal à la limite du fanatisme religieux.