Dans une Amérique imaginaire, prés de la frontière, un bar sans âge, un refuge pour les âmes seules. Là , ne vivent plus que quelque fêlés, un vieux noirs, un vendeur de poulet frit, une jolie serveuse qui attend l'amour. Un jour, Larry Stocker, le célèbre animateur de talk-show, franchit la porte...

Cinq petites frappes se retrouvent pour le casse du siècle : le magot d'un ancien braquage enfoui dans les murs du château d'une comtesse russe. Encore faut-il savoir manier les outils de pros du bricolage. "Dans la vie parfois, faut se raconter des histoires, ça aide".

"Avant toute chose, il faut que tu saches que je suis quelqu'un de malade. Malade de partout (...) Tout mon être abrite un vide qui perdure. Et qui résonne comme la boîte du magicien ; (...) Et je ne vis plus dans le temps d'une grande chute et d'une grande dispersion... je ne suis plus dans le coup, voilà  tout." (Extraits)

Dans "Les Acharnés" il est impossible de ressusciter l'amour qui n'existe pas. On tâche de faire sa vie, malgré tout. Même s'il ne reste plus rien. Même s'il ne reste que des êtres en proie à  la solitude, qui évoquent sans aucune nostalgie, des rêves lointains d'amour, des instants de "petite vie" dévorés par les flammes.

Le petit Jérémy Fisher, dès sa naissance, n'est pas comme tous les autres enfants. Son papa et sa maman sont intrigués mais très heureux d'avoir cet enfant qui a des pieds palmés et qui, petit à  petit, se transformera en poisson. Il l'accompagneront jusqu'à  sa nouvelle maison, l'océan. Un texte sur la différence et la tolérance. Un conte moderne.

Discours de Malcolm X dans lequel il aborde des thèmes comme le droit des Noirs à  la citoyenneté...Le texte est ponctué de lyrics"", chants créés par les rappeurs de la banlieue parisienne."

Alan a une vie répétitive. Tous les jours, il prend le bus et va travailler. Tous les soirs, il rentre chez lui, dîne et dort. Il n'a pas d'ami, il ne prend jamais de vacances. Mais tout va changer grâce à la visite d'un mystérieux étranger.

Une galerie d'invisibles tantôt abîmés et affaiblis, tantôt amoureux, optimistes et solidaires. Dans ce monde bouleversé nous découvrons leurs destins, leurs rêves, leurs déceptions. Nous traversons des lieux, parfois étranges, parfois familiers. Se rencontrent une femme enceinte, des couples à la dérive, un clown de rue, des poètes en fuite, etc. Tous sont les êtres en marge d'une société en perpétuel mouvement, fragilisés par l'individualisme. Tous partagent une règle tacite, n'être jamais seul.

À la maison de repos, les Hortensias, les pensionnaires, touts d'anciens artistes de la scène, n'ont pas perdu la fougue de leur jeunesse ; Robert est resté un déclamateur de vers, tentant par tous le moyens d'attirer l'attention des femmes et d'amuser la galerie de ses blagues intarissables, Prosper jour les rebelles en dérobant des bouteilles de vin à l'économat, Lola encore sollicite ses charmes endormis pour séduire un médecin.

Une ode à la vie, à la frivolité et à la légèreté qui seules permettent de résister…