La Mère de Fernando Arrabal vient de recevoir la première lettre de son enfant depuis dix-huit ans. Lui, si plein de dévotion pour elle, avait brisé les liens qui les unissaient. Le Père, condamné à mort au début de la guerre civile espagnole, avait-il été dénoncé par son épouse ? Pour protéger son fils ? L'histoire, cette marâtre, était-elle responsable de cette tragédie ? Elle les avait plongés, tous trois enchainés, au fond d'un puits, comme dans un supplice chinois.
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