Dans la pure tradition des pièces de Labiche, avec ses couplets au lèves de rideau et au final, ce Emprunt Russe se révèle être l'emprunt ruse. Nous somme à Paris, en janvier 1910. Belle Epoque, sans doute, mais bien mauvais temps. Il pleut, la Seine est en crue, la capitale est inondée, la circulation est difficile. Un banal, ou presque, accident de fiacre fait soudain culbuter tout un passé de bourgeois irréprochables. Leurs travers ou leur faiblesses ont l'âge de humanité. Tout n'est alors qu'apparence et chacun reflète ce qu'il n'est pas. L'exploitation de cette situation pleine de contrastes, transforme ces braves gens en Bon petit diable qui ne méritent pour tout absolution qu'un éclat de rire.
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