"Amélie Rabilloux a avoué dès qu'elle a été arrêtée.
Je les ai appelés les Lannes. Elle, Claire, Claire Lannes. Lui, Pierre, Pierre Lannes.
J'ai changé aussi la victime du crime ; elle est devenue Marie-Thérèse Bousquet, la cousine germaine de Pierre Lannes, celle qui tient la maison des Lannes à Viorne.
Je crois que la peine d'Amélie Rabilloux a été considérablement écourtée. Au bout de cinq ans, en effet, on l'a revue à Savigny-sur-Orge. Elle était revenu dans sa maison, rue de la Paix.
Quelque fois on 'la encore revue. Elle attendait l'autobus en bas de sa rue.
Toujours elle était seule.
Un jour on ne l'a plus vue."
(M.D.)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGV et l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts et vous permettre l'utilisation de boutons de partages sociaux. En savoir plus sur ces paramètres