Humains à durée limitée

Nous sommes dans un monde où l’incertitude de la mort a disparu, puisque le nom de chaque personne est précisément celui du nombre d’années qu’il lui est donné de vivre. Une autorité centrale contrôle et gère les décès, et les gens sont heureux, l’angoisse devant l'aléa ultime de l'existence n'ayant plus de raison d'être. Seul un homme du nom de Cinquante conteste ce système… 

Dans cette dystopie datant des années 1950, avant la découverte de l’ADN et des manipulations génétiques, et avant les débats sur la fin de vie, l’auteur s’interroge sur les implications psychologiques qu'auraient ce système, et imagine les conséquences d’une remise en cause radicale de l'ordre établi.