Ce texte se compose de deux monologues.
Dans le premier, une femme bourgeoise mélancolique exprime sa soumission à son amant et aspire à ce que celui-ci use d'elle selon son bon plaisir. Dans la deuxième partie qui, selon les termes de l'auteur, "efface et ridiculise la première", ce désir se trouve pris au pied de la lettre : la prostitution érige l'homme en seigneur et maître, pour qui les femmes ne sont que du bétails.