La huitième pièce de l'auteur qui la définit comme sa "première véritable comédie". Le sous-titre L'école des amants indique la filiation de cette œuvre avec le Cosi fan tutte de Mozart et Da Ponte, dont elle est la réécriture burlesque et grinçante. Pour l'écrivain qui se définit comme "une incurable moraliste", l'échangisme apparaît comme l'illustration de "la terreur de la liberté" : une sexualité sans frein ou le désir féminin qui se donne prétendument libre courts n'aboutit qu'à une ritualisation grotesque de la performance sexuelle et se mue en une servitude terrifiante.
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