Dans Bois sacré, il y a un bois. Le bois est dans une maison. Pas autour de la maison, dedans. Et la maison est un rêve. Le drame de Bois sacré : une aspirante starlette entraînée dans un jeu pervers et tragique par un homme plus âgé. C'est à Hollywood (bien sûr), mais peut-être pas. L'atmosphère en tout cas est hollywoodienne : nuit d'orage, jeune femme blonde en robe de soirée, homme sexagénaire en smoking, séjour avec champagne. Disons que c'est un rêve hollywoodien, c'est à dire un cauchemar sordide.